Magnificat
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Magnificat

René Bazin

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Roman breton, Magnificat décrit l’histoire d’un drame humain, qui se vit en partie à Muzillac, près de Vannes, et en partie sur le front, pendant la guerre 1914-1918, une vocation de prêtre qui tarde à se révéler, tout à la fois pour des raisons familiales et sentimentales...

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   Roman breton, Magnificat décrit l’histoire d’un drame humain, qui se vit en partie à Muzillac, près de Vannes, et en partie sur le front, pendant la guerre 1914-1918, une vocation de prêtre qui tarde à se révéler, tout à la fois pour des raisons familiales et sentimentales : continuité du travail dans la ferme paternelle et attachement à Anna, la cousine de l’Île-aux-Moines. Gildas a entendu l’appel dès l’enfance, mais il n’a rien dit, ni à ses parents, ni à Anna qui l’aime en secret.
   Dernier livre écrit par René Bazin, Magnificat constitue le testament spirituel de l’auteur. À travers les personnages de ce roman, on retrouve les vertus et valeurs pérennes de verticalité, générosité, souci pastoral et missionnaire, amour de la patrie et fraternité d’armes, discrétion et service des pauvres… Bref un roman plein de lumière à redécouvrir.

   Juriste et homme de lettres, René Bazin est né à Angers en 1853. Journaliste au Figaro, au Journal des débats et à L’Écho de Paris, il est l’auteur de nombreux romans parmi lesquels La Terre qui meurt (1899), Les Oberlé (1901), Le blé qui lève (1907) et Magnificat (1931).
   Ses biographies de Charles de Foucauld et saint Pie X demeurent des références historiques. Élu à l’Académie française en 1903, il meurt en pleine gloire littéraire le 19 juillet 1932, père d’une famille de huit enfants.

Du même auteur

Contes merveilleux  
Souvenirs d’enfant  
Contes et paysages de province  
Fils de l'Église, visages de saints 
Petite vie de Charles de Foucauld 
Les trois peines d'un rossignol  

Dans la presse

Famille chrétienne, n° 1795, du 9 au 15 juin 2012

   Réédition d’un des plus beaux romans de René Bazin (1853-1932), juriste, homme de lettres et académicien, dont c’est le dernier livre et le testament spirituel. Au cœur du Morbihan, l’histoire d’une vocation à la prêtrise, d’abord étouffée par le devoir à la ferme paternelle et un amour naissant, mais qui se réveille au front pendant la guerre de 1914-1918.
Marie-Catherine d’Hausen

Doctrine et vie, n° 235, 62e année, septembre 2012

[...] dernier livre de cet illustre écrivain catholique, qui vient d’être réédité et qui est magnifique, tant par le fond que par sa qualité littéraire : [...]
Claude Paulot

La Nef, n° 242, novembre 2012

   Via Romana a eu l’heureuse initiative de rééditer un roman de René Bazin (1853-1932), son dernier, écrit juste avant sa mort à l’âge de 79 ans. Magnificat se situe en Bretagne, à Muzillac, près de Vannes. En fait, il faudrait presque dire que Magnificat est une œuvre inspirée de la Bretagne tellement les personnages, les paysages, les mentalités de ce pays se façonnent mutuellement. Le héros, Gildas, fils de paysan destiné à devenir lui même paysan, part pour le front – c’est la Première Guerre mondiale. Dans son écriture, René Bazin mêle intimement l’existence du soldat, d’une part, et celle de sa famille restée au pays, d’autre part, pour exprimer la communion de ces êtres unis dans l’amour mais déchirés par leurs choix. Au milieu de la tourmente, Gildas va se souvenir de l’appel entendu dans son enfance et mettre les siens face au sacrifice: faire le don du fils ou de l’amoureux, s’il échappe à la guerre. Les personnages du roman sont profondément vrais ; René Bazin les conduit avec tendresse et admiration dans une vie où les sentiments, où la grandeur des âmes se révèlent dans les actes, très peu dans les paroles.
   Souvent, dans sa Bretagne du Finistère, René Quillivic a sculpté dans la pierre des monuments aux morts de 14-18, des femmes abîmées dans la douleur, images de ceux qui, restés au pays, pleurent les hommes qui ne sont pas revenus, tout comme René Bazin fait vivre ses personnages dans l’héroïque don de soi et des proches.
Catherine Lenoir

 Les 4 vérités hebdo, n° 892, 17 mai 2013

   Les éditions Via Romana ont eu l’excellente idée de rééditer, voici quelques mois, ce très beau roman de René Bazin. Ce dernier a été l’un des grands écrivains de la France d’avant 1914. Il a chanté une France dont nous n’avons plus guère l’idée, marquée par le labeur des paysans et un amour de la patrie qui devait conduire au sacrifice héroïque plus d’un million de jeunes gens envoyés à l’abattoir par l’incurie de gouvernants (certes meilleurs que ceux que nous connaissons aujourd’hui, mais déjà obnubilés par la démagogie électoraliste et les petites combinaisons partisanes). Un roman lumineux, à redécouvrir et à faire lire aux plus jeunes.
Guillaume de Thieulloy

Lecture et tradition, NS, n°27-28, juillet-août 2013

   « Si, à mon âge, j’avais derrière moi une œuvre mauvaise ou simplement indifférente, comme j’aurais peur ! » (1)
   Voici ce que disait René Bazin quelques temps avant sa mort. Lisons donc et faisons lire sa dernière œuvre, celle qui fut très certainement l’apothéose de son art et qui est considérée comme le testament spirituel de l’auteur. Mettons entre les mains de nos enfants ce trésor, reflet et résumé de tous les choix de René Bazin autant littéraires que moraux. Donnons leur ce roman qui comblera leur attente en matière de divertissement et qui construira leur jugement en prévision des différents choix de vie qu’ils auront à faire dans les années futures (A partir de 16 ans).
   (1) René Bazin, in DC, 15-22 juin 1935, col. 1514.

René Bazin
979-10-90029-19-4
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Fiche technique

Couverture
souple
Date de parution
mai 2012
Dimensions
14.8 x 21 cm
Pages
296
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